samedi 17 août 2013

Pour mieux comprendre mon amour du zumba

Je partage avec vous ce clip qui se regarde en famille. Parce que ce n'est pas toujours le cas, vous en conviendrez. Je le partage parce que je ne voudrais surtout que vous vous aventureriez dans "You Tube" en tapant "zumba" et que vous tombiez sur toutes ces images et chansons débiles (car oui, le zumba peut être un peu débile) qui ne sont vraiment pas pour les enfants. 

Cette chanson, c'est un des "hits" de mon cours de zumba. Et on fait même cette chorégraphie, oui, oui, pareil, pareil. Ben les shorts coupés en moins dans mon cas.

Il y aurait tant à dire de cette perle de la culture zumba (car c'en est une et je la découvre depuis peu).
Mais je vous garde ma lecture féministe pour une autre fois. Disons seulement que le fait que le gars (et tous les gars) soit habillé jusqu'au cou est une bonne piste. 
Sauf que : la "toune" est là, les "moves" sont là et le "fun" itou. Et ça me fait un excellent défoulement entre deux citations de Blanchot. Comme quoi les contraires s'attirent et je ne suis pas à une contradiction près. Mais ça, vous le saviez déjà.



2 commentaires:

  1. On se ressemble beaucoup, j'espère que l'on pourra poursuivre ce qui s'est amorcé avant votre départ, quand vous reviendrez.

    Moi aussi j'ai ce poids de ma résidence qui m'empêche de vivre depuis la naissance d'Arthur. Les examens sont au printemps 2014, et plus le temps passe, plus ils m'empêchent de vivre. Vraiment pas la plus belle année de ma vie qui est à venir... et vraiment pas mon plus beau bébé !!

    J'ai aussi la (le?) zumba, je pensais m'inscrire cette année. Un peu intimidée d'aller dans les cours pour adultes "normaux", puisque j'ai découvert en contexte protégé avec Louise après la naissance d'Axel. Ya moyen de suivre le rythme dans les cours réguliers ?? hahah

    Je ne sais pas si je vais avoir le temps ! Je t'admire d'arriver à écrire autant de choses sur le blog également.

    En tout cas, je suis toute en pensées avec toi !

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    1. Chère Caroline, je te comprends d'appréhender l'année qui vient. Parfois, j'ai le sentiment que c'est le prix à payer pour moi pour me réaliser en tant que personne séparée de mes enfants. Après avoir passé une année et demie à m'assurer que tout le monde était bien, bien adapté, avec les conditions nécessaires pour s'épanouir, il me reste moi, et en particulier la partie intellectuelle de ma personne, à nourrir. J'essaie de m'encourager en me disant ce que ce sera pour mes enfants de repenser à moi, finissant ma thèse, sacrifiant notre vie de famille pendant deux semaines pour ça. Je pense qu'ils seront fiers et que ça les inspirera à se dépasser. En même temps, chez moi, c'est comme viscéral de faire quelque chose. J'ai toujours eu peur de m'ennuyer. Mais après, je promets de savourer et de me la couler douce. Je ne ferai pas ma médecine ni mon droit, qu'on m'en empêche! Je suis sûre que tu trouveras en toi les ressources pour y arriver et que tu as toi aussi une bonne équipe de soutien, ce qui est essentiel à la réussite de ce genre de projets.
      Pour le zumba, je pense que tu peux tout à fait arriver à suivre dans un groupe régulier mais il ne faut pas se décourager, les premières séances peuvent être pénibles. Mais rapidement, comme ce sont les mêmes séquences qui reviennent, ça devient plus facile. Ça fait vraiment du bien en tout cas de laisser aller son fou!
      Merci beaucoup d'avoir pris le temps d'écrire ici. Et au plaisir de se revoir...

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